21 juin 2012
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16:33
Dans ma tête, une ville la nuit,
Un dôme caché gonflé de bruit.
Mon crâne contient toute la lourdeur d’une énorme guerre au ralenti.
Une guerre beaucoup plus sérieuse que celle que l’on fait aux pissenlits.
Mon temps s’envole,
comme les notes aiguës d’un mélancolique solo de piano.
Mais ce sont les basses qui me chatouillent les racines de cheveux jusqu'aux os.
N.