Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 novembre 2012 6 03 /11 /novembre /2012 21:07

n-jpg

Partager cet article
Repost0
2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 05:47

montage.jpg

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 23:47

Avoir bonne conscience de son corps. Être tout en éveil. Mieux respirer. Être calme. Confiante de ses moyens. Ne plus être elle. Enfin. Un jour sans un boulet de canon. L’estomac délivré. Bien respirer. Douceur et plaisir poivré. Seulement. Devenir qui elle est. L’instant de. Vivre la mort en déséquilibre. Se joindre à elle sur le fil. Une vie qu’on a choisie. Un dépotoir d’envies. Je suis. Parce que je sais. Le doute sans l’accalmie. Je sais. Parce que je suis. La certitude de connaître. Celle qu’on deviendrait. Si elle était. La certitude de pouvoir être. Celle qu’on attendait. Si on l’était. La fleur du pépin de la pomme. Ou la trinité. Le zéro au bout de la somme. Sans la destiné. Je ne suis plus elle.

Partager cet article
Repost0
30 juin 2012 6 30 /06 /juin /2012 00:17

 

J’ai mis ton petit cou dans le creux de mes doigts

J’ai collé ma tête tout contre toi

Murmuré des mots de miel à ta douce oreille

Je t’ai serré fort, jusqu’à c’que tu t’réveilles…

De l’autre côté

 

Je te garderai au-delà d’une tombe

Je t’adorerai par-dessus tes décombres

 

Grosse Madame adoré

Ponctuelle à l’heure du goûté

Tu prenais ton aise, par terre, à te rouler

Quand je me mettais à te brosser

 

Tu étais une chasseuse invétérée

Prenait les moustiques de tes griffes acérées

Mangeais même tes croquettes avec ta patte

Faut dire que - Cartoon - c’tait toute une chatte

 

J’aurai voulu te câliner des millions d’heures

J’aurai voulu prendre ta douleur

J’aurai voulu te bercer toujours, t’enlever du malheur…

De la maladie

 

Pour que tu regardes encore la vie

De tes grands yeux verts

Belle Madame chérie

 


Repose-toi bien sur ton nuage -X-

 

 


Cartoon, alias Grosse Madame2012-03-27 00.39.54

 

Cartoon.jpg

Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai


N.

 


Ton dernier voyage,


Rappelle-toi le long gazon dans lequel tu courais,

Les rosiers et les cèdres où tu prenais de l'ombre,

Cette famille qui t'adorais, même le voisin qui t'accueillait...


Tu es tranquille, dans ton cercueil de soie.

Je ne t'oublie pas.

2012-04-17-19.04.52.jpg2012-04-17-20.47.52.jpg2012-04-17-20.53.56.jpg2012-04-17-21.16.27.jpg

Partager cet article
Repost0
21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 16:33

...

Dans ma tête, une ville la nuit,

Un dôme caché gonflé de bruit.


Mon crâne contient toute la lourdeur d’une énorme guerre au ralenti.

Une guerre beaucoup plus sérieuse que celle que l’on fait aux pissenlits.

 

Mon temps s’envole,

comme les notes aiguës d’un mélancolique solo de piano.


Mais ce sont les basses qui me chatouillent les racines de cheveux jusqu'aux os.

 

N.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 04:10

 

27ans

2012-03-28-22.56.57.jpg

Partager cet article
Repost0
23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 22:27

En vente maintenant!

 


Le Zine de l'album

Mémoire en Protéines

  + single 

 

 

Deux titres original:

Untitled-2 copyQuel Tableau? et Le Musicien

 

- 15 pages de textes

- 2 chansons mp3 sur CD

- 11 poèmes

- 7 photos


 

5$ *frais d'envoie inclus

Partager cet article
Repost0
17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 16:45

Je me bats pour le droit à l’éducation et beaucoup plus, je me bats pour ma sœur et mon frère, pour les jeunes et les moins jeunes, pour mes cousins, mes cousines et leurs enfants, pour mes futurs enfants, pour ma nièce et mon neveu, pour l’homme et la femme de classe moyenne qui, un jour, retournera sur les bancs d’école inconfortables, je me bats pour la population du Québec et l’avenir de ceux-ci, je me bats pour que la richesse et la culture soient accessibles à tous, je me bats pour que cette richesse et cette culture soient engraissé et dispersé plutôt que d’en réduire l’accès.

 

Je mets grandement en doute les intérêts et compétences du parti libéral qui a gouverné trop longtemps selon moi. Disons-le, les personnes âgées sont confortables dans les bras repus et corrompus de Jean Charest. Pourquoi? Ils le connaissent, ils l’on vu souvent à la tv… Puis, pourquoi changer quand on a le choix de ne rien changer? Mais surtout, ils aiment savoir que rien n’entravera leur routine hebdomadaire auxquels ils sont tant attaché puisque, pour la plupart d’entre eux, c’est à peu près tout ce qu’ils leur restent. En votant libéral, ils votent pour que leur passé ne se perde pas trop dans notre présent. Ça leur donne l’impression qu’ils seront en sécurité jusqu’au dernier mile de la grande course contre l’heure, et je les comprends. Les vieux n’aiment pas les divorces, le changement, l’analyse et la critique de leur religion par les plus jeunes qui se questionnent légitimement et ils n’aiment vraiment pas encourager le renouveau. Peut-être on t’ils peur de perdre leur droit de s’bercer devant un « programme cheesy ».

 

Soit dit en passant, j’adore ma grand-mère qui, elle-même, écoute Les feux de l’amour. Elle me chicane parce que je ne vais pas à la messe, et quand j’y vais par obligation familiale, elle me chicane parce que je commente les dires du prêtre. Mais, elle dit aussi « c’est ta vie, fais dont ce que tu veux ». Elle, au moins, a compris. Compris que l’avenir de ses enfants a dépendu d’elle, que l’avenir de ses petits-enfants dépend de ses enfants et que l’avenir de ses arrières petits-enfants dépendra de ses enfants et petits-enfants.

 

Les hommes d’affaires y sont aussi pour beaucoup, hypnotisés par leur soif de profit,  ils n’acquiescent pas, par soucis économique, à l’idée d’une prochaine séparation. Il y a aussi tous ceux qui ne veulent pas perdre leur joli passeport canadien, sans oublier tous ceux qui ne parlent pas français et qui veulent continuer ainsi. Ils enterrent notre langue avec la leur, Parlons plus fort qu’eux!

 

L’éducation d’une nation est une richesse inestimable, pareil aux ressources naturelles du Québec. Ne laissons pas un gouvernement fongique nous prendre au piège, nous voler nos richesses et nous diriger piètrement pour ses propres intérêts. Le Québec est à nous!

 

Voilà pourquoi au prochain référendum je voterai OUI pour un Québec libre, Oui pour un Québec digne, Oui pour la perpétuation des mœurs québécoises et la sauvegarde de notre langue, Oui à la prise de contrôle sur nos ressources naturelles et les profits générés, Oui pour un Québec juste, équitable, éduqué et riche, OUI pour que mes enfants vivent dans un Pays où les couleurs de nos valeurs forment celles de notre drapeau.

 

N.

Partager cet article
Repost0
22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 06:01

Quand personne ne peut vous cerner, c’est que vous ne vous cernez pas vous-même. Quand quelqu’un commence à vous cerner, c’est que vous êtes sur le point d’y parvenir.

 

J’extrapole le « sur le point » puisqu’il n’est pas définit par une limite de temps dans le sens où il est en devenir, en voie de… Puisque de toute manière, nous réapprenons qui nous sommes à chaque putain de jour de notre existence et que, parallèlement, chaque jour nous réapprenons le monde.

 

Croissance constante, mouvement omniprésent, même quand tout semble stagner. Mouvement tantôt visible, tantôt invisible. Comme une pomme qui était une fleur, qui était un bourgeon, qui était, qui était… Les stades de transformations dont je fais l’énumération non-exhaustive, sont tous très visuels, c'est-à-dire que l’œil humain les constate.

 

Seulement, entre tous ces stades « visuels » il y a d’autres étapes beaucoup plus invisibles à notre œil. On pourrait en conclure, à première vue, qu'il s'agit d’un état de stagnation, à tort, puisque tout le contraire s’y passe; le mouvement est bien présent. Je serais plutôt portée à dire le contraire. Lorsqu’on peut voir la pomme c’est que le mouvement est moins présent, assez en retrait pour que l’on puisse apercevoir le « fruit du mouvement ».

 

Tout cela m’amène à : « Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose » (eh oui, je cite la bible!)

« un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher; un temps pour tuer, et un temps pour guérir; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir; un temps pour pleurer, et un temps pour rire; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser; un temps pour lancer, et un temps pour ramasser; un temps pour embrasser, et un temps pour s'éloigner; un temps pour chercher, et un temps pour perdre; un temps pour garder, et un temps pour jeter; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre; un temps pour se taire, et un temps pour parler; un temps pour aimer, et un temps pour haïr; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. »

 

Et il y a un temps de (fausse) stagnation! Probablement pour nous inciter ou nous aider à mieux regarder.


Car, bien que l’on puisse discerner, grâce à notre cerveau, la forme des arbres le long d’une route et d’un paysage qui défile à toute vitesse de part et d’autre de la voiture, on ne peut que l’admirer ou, du moins, le voir de façon plus précise seulement si on met l’auto sur la voie d’accotement. Là où je veux en venir avec mon histoire de mouvement et de stagnation, c’est que, sur la voie d’accotement, le moteur peut continuer de tourner sans gêner notre vue. (Quoique, ne le faites pas par respect pour l’environnement.) Et puis, admettons que nous éteignons le moteur sur cette voie. À première vue nous pourrions voir une « (fausse) stagnation » mais, même si le moteur ne tourne pas, l’essence que l’auto contient reste en mouvement par ses réactions chimiques.

Partager cet article
Repost0
22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 05:11

 

Je serai ce que je ne suis pas et je suis ce que je n’osais être.

Les limites de mon être définies par l’audace et mon audace limitée par mes peurs.

 

Je pourrais dire aussi :

 

Je serai ce que j’oserai et je suis ce que j’ai été.

Les limites de mon être définies par le futur et mon futur limité par mon passé.

 

Où suis-je? Penchée entre la nostalgie et l’ivresse du cœur, je me trouve à cent pas de toi. Je reste plantée là, saoulée par tous ces jours qui hantent mon esprit, accablée de hontes et de tourments. Je vis dans l’interligne et je me sens vide comme elle, accueillant à l'horizontale des phrases vides de sens et pleines de désordre.

 

Je vis dans l’interligne comme un FA un LA un DO ou un MI lié à la clé de SOL. Par contre, ces notes sont pleines de sens et vides de désordre.

 

En grand écart au-dessus de l’eau, la pointe des pieds sur le vieux bois sec d’un pont qui n’en est presque plus un. Mes talons encrés sur l’absence. La peur s’esclaffant haut et fort d’un « ha ha ha! ». L’ironie me frappe… mais je l’avais giflé.

Partager cet article
Repost0